Régime alimentaire


Un régime alimentaire définit la façon dont un organisme, se nourrit. Si les plantes synthétisent directement leurs nutriments, les animaux et les hommes sont dépendants d'une ou plusieurs autres espèces pour leur nourriture. Le régime alimentaire, qu'il soitcarnivore, herbivore ou autre, a une influence prépondérante sur le comportement. Il détermine notamment le statut de prédateur ou deproie dans la chaîne alimentaire. La pratique alimentaire peut être généraliste pour les omnivores ou plus ou moins spécialisée pour lessténophages.
La spécialisation à une source de nourriture donnée entraîne également l'évolution de diverses structures anatomiques (bouche, dent, estomac, longueur de l'intestin, griffes, ...)
Certaines espèces animales ont des régimes alimentaires différents à l'état de larve (ou de jeune) et d'adulte (Ex : têtard herbivore ou détritivore, et grenouille ou crapaud carnivore, perdreaux insectivores et perdrix adultes granivores). C'est le cas aussi des Mammifères qui allaitent leurs petits.


types régimes

  1. Le régime du Dr Atkins: dit le « terminator des glucides ». Donc plus de pâtes, de pain, de fruit, de sucre tout court. Même « Sugar Baby Love » des Rubettes c’est interdit. Indice de frustration 10/10.
  2. Le régime crétois (ou méditerranéen): dit « 20 fruits et légumes par jour. Au moins ». Manger Bouger avec une bouteille d’huile d’olive dans la poche. Indice de frustration 2/10.
  3. Le régime hyperprotéiné du Dr Dukan: dit « Proteïne Power ». 4 périodes à respecter scrupuleusement, la première étant basée sur les proteïnes, et les 3 autres aussi. Pour changer, quoi. On a le droit à des écarts dans ce régime, ce qui permet de faire retomber la pression et évite de tuer son chat. Indice de frustration 4/10.
  4. Le régime « mental » de Jean-Michel Gurret: dit « regardez moi dans les yeux: vous êtes maigre ». Hypnose, coaching video, audio, vous maigrissez en imaginant que vous êtes en train de le devenir. Evitez de vous préparer mentalement au Mac Do, ça reste un régime. Indice de frustration 1/10.
  5. Le régime Scarsdale: « dit le petit suicide ». 2 semaines complètes sans glucides avec fruit, légumes et certaines proteïnes (ben oui sinon ca serait trop simple). Puis on se calme 2 semaines. Puis on remet ça. Puis on pense à partir au Brésil ou à Limoges pour tout oublier. Etc… Indice de Frustration 11/10.
  6. Le Régime Montignac: « dit le scientifique ». Quand choisir ses aliments devient un art. Ne sélectionnez que des aliments à index glycémique bas. Et là vous me dites, tu te fous de moi ? Ben non, baladez-vous avec l’encyclopédie Glycémique en 10 volumes (il doit y avoir une appli Iphone) et là ça marche. Sauf si vous mélangez ça avec des graisses saturées. Ben oui bien sûr. Clair quoi. CQFD. Indice de frustration 8/10. Vu qu’on ne comprend pas le régime en lui même.
  7. Le Régime de Jacques Fricker: « dit c’est mon régime à moi ». Un régime « sur mesure » parce que vous le valez bien. Le monsieur, un nutritionniste, préconise l’approche personnalisée, à long terme ou rapide, selon vos besoins. Rien cela dit sur un régime ultra-rapide, du type « comment je fais pour rentrer dans ma robe demain soir ». Indice de frustration 5/10.
  8. Le régime Weight Watchers: dit « le poids lourd ». Si c’est raisonnable on a le droit à tout, et ce depuis plus de 40 ans. Et surtout d’aller aux fameuses réunions GA (les Gros Anonymes) pour se serrer les coudes entre militant(e) de la cause « Fat Free ». Parce que c’est pas une religieuse au chocolat ou un paquet de chips qui va faire la loi. Indice de Frustration 2/10.
  9. Le régime Fridman: dit « le régime sans régime ». Rien faire à part faire attention aux quantités, à ne pas sauter de repas et à respecter un équilibre des apports caloriques de chaque aliment. Un peu comme un régime donc, mais qui n’aurait pas de nom. Ah si le régime Fridman. Comprends plus. Indice de frustration: 2/10.
  10. Le régime South Beach: dit « le régime qui vient des States avec un nom cool ». Comme le bon et mauvais chasseur, il y a les bons sucres et les bonnes graisses selon le DR Agatston. Une fois que vous les connaissez, c’est bien parti. Pour déconner on supprime d’abord quasiment tout. Et puis on s’y remet petit à petit. Pas super excitant mais reste le nom qui donne envie de faire du roller en mini-short au coucher du soleil devant le Pacifique. On a les régimes qu’on mérite. Indice de frustration: 7/10.
  11. Le régime Demis Roussos: dit « le super bien », très copieux. Mais marche pas. Du tout. Indice de frustration 5/10. Comme le nombre de kilos pris en une semaine.

Traitements médicaux de l’ostéoporose


Médicaments

Il existe plusieurs médicaments capables de freiner la dégénérescence osseuse, tout en réduisant de manière significative les risques de fractures. De plus, il est souvent possible de retrouver une partie de la masse osseuse perdue. (Notez que le risque de fracture peut être réduit même dans les situations où la masse osseuse demeure stable.) Les médicaments sont utilisés uniquement lorsque le risque de fracture est jugé élevé.
Voici les principaux :
  • Les bisphosphonates. Ces médicaments ralentissent la perte de masse osseuse. Les plus employés sont l’alendronate (Fosamax®) et le risédronate (Actonel®), en doses hebdomadaires ou quotidiennes sous forme de comprimés. Une nouvelle formulation d’Actonel® permet de prendre ce médicament 1 seule fois par mois. On utilise aussi l’étidronate (Didrocal®) en doses quotidiennes ainsi que l’acide zolédronique administré par injection intraveineuse 1 fois par année. 
    Effets indésirables
    . La prise prolongée de bisphosphanates, durant plus de 5 ans, accroît le risque de fracture atypique du fémur2,3. Les fractures atypiques sont localisées à un autre endroit sur l’os que celles causées par l’ostéoporose. Le risque d’ostéonécrose de la mâchoire s’accroît aussi, surtout chez les femmes dont le système immunitaire est affaibli. Ces effets secondaires sont rares, mais sérieux. Selon une étude parue en 2011, la fracture atypique touche 0,4 % des femmes après 5 ans de traitement par bisphosphanates2
    Selon les spécialistes, il faut réserver l’usage de ces médicaments aux femmes dont le risque de fracture liée à l’ostéoporose est élevé (d’après l’évaluation médicale globale et non seulement le test d’ostéodensitométrie). Chez ces femmes, les bénéfices des bisphosphanates surpassent clairement les risques d’effets indésirables. Certains recommandent de faire une pause de 1 an ou 2 après un traitement de 5 ans, puis de le reprendre par la suite.
  • La calcitonine (Miacalcin®). Cette hormone produite par la glande thyroïde ralentit la perte osseuse. Elle procure aussi un effet analgésique. Elle s’utilise par voie nasale ou sous forme d’injection.
  • Le raloxifène (Evista®). Ce médicament mime les effets des oestrogènes en agissant sur les récepteurs de ces hormones (mais sans accroître les risques de souffrir d’uncancer hormonodépendant).
  • Le tamoxifène. Cette hormone synthétique, employée pour traiter le cancer du sein, a également un effet semblable à celui des oestrogènes sur les os.
  • La parathormone synthétique (PTH). Cette hormone sécrétée par les glandes parathyroïdes est réservée aux cas d’ostéoporose importante. Elle s’administre sous forme d’injection. Elle joue un rôle dans les échanges corporels de calcium et de phosphore, et ralentit la perte osseuse.
En cas de douleurs aiguës ou chroniques, on utilisera des analgésiques. Le port d’un corset peut s’imposer si la douleur s’intensifie.
Remarque. L'hormonothérapie substitutive à la ménopause peut contribuer à ralentir la perte de masse osseuse et ainsi réduire le risque de fracture. Par contre, elle est rarement employée dans ce but unique étant donné les risques qu’elle comporte. Notons que, au moment de l’arrêt du traitement hormonal, une phase accélérée de perte de masse osseuse s’amorce, telle qu’on l’observe naturellement chez les femmes au cours des années qui précèdent la ménopause. Pour en savoir plus, consulter notre fiche Ménopause. Par ailleurs, dans le cas des hommes dont l’ostéoporose découle d’une déficience en testostérone (hypogonadisme), on recourt parfois à une hormonothérapie aux androgènes. Ce type d’hormonothérapie comporte également des risques, comme un accroissement du risque de cancer de la prostate.

Chirurgie

En cas de fracture de la hanche, une intervention chirurgicale est souvent nécessaire pour reconstruire la hanche.
En cas d’hyperparathyroïdie, l’ablation des glandes parathyroïdes permet d’améliorer la densité minérale des os.

Suppléments de calcium et de vitamine D

Le médecin propose parfois la prise de suppléments de calcium et de vitamine D. L’apport encalcium tiré de l’alimentation et au besoin d’un supplément devrait atteindre 1 200 mg par jour. La dose de vitamine D proposée varie entre 800 UI et 2 000 UI (20 à 50 µg) par jour, selon le cas.
La mesure du taux sanguin de vitamine D (le 25-hydroxycholecalciférol) est habituellement suggérée aux personnes qui reçoivent un traitement pharmacologique contre l’ostéoporose. Le médecin peut ainsi connaître la posologie optimale des suppléments de vitamine D.

Alimentation

Tel que décrit en prévention, il est bon d’augmenter son apport en aliments riches en calcium et en vitamine D. Il faut aussi veiller à avoir un apport adéquat en protéines, et privilégier une diète alcaline (riche en fruits et légumes).

Définition Ostéoporose


L'ostéoporose est une maladie caractérisée par une fragilité excessive du squelette, due à une diminution de la masse osseuse et à l'altération de la microarchitecture osseuse. La solidité de l'os résulte d'un équilibre subtil entre deux types de cellules osseuses : les ostéoblastes, qui solidifient l'os, et les ostéoclastes (responsables de la résorption osseuse), qui les fragilisent. Une activité dominante des ostéoclastes conduit à l'ostéoporose qui peut résulter d'un capital osseux insuffisant en fin de la croissance, soit d'une perte osseuse excessive lors de la vieillesse.
Des facteurs génétiques, nutritionnels et environnementaux déterminent l'acquisition du capital osseux pendant la croissance, puis la perte osseuse.
C'est une maladie fréquente chez les femmes après la ménopause car la masse osseuse diminue avec l'âge et avec la carence en hormones féminines (œstrogènes). Elle touche moins souvent les hommes que les femmes et exceptionnellement les enfants.
Il s'agit d'un facteur de risque important de fractures osseuses (en particulier du col dufémur).

LES PRÉCAUTION DE L'OBÉSITÉ

Pour aider à réduire obésité, qu'elle soit interne ou externe, voila ce que je propose à nous qui faisons des plein à chaque repas. Ces précautions se présentent comme suit:

- supprimer les alcools
- boire de l'eau, du thé, du café
- éviter tous les sucres et pâtisseries
- éviter toutes viandes et sauces grasses
- ne consommer que des viandes maigres (poulet) à alterner avec du poisson court bouillon et aromates
- ne consommer que des pâtes (sucres lents) avec des légumes
- éviter l'abus des yaourts
- prendre des fruits
- consommer des céréales,
selon la personne à adapter et surtout, manger léger le soir.avant d'aller au lit.

source ; http://atelier.rfi.fr

Définition L'obésité


L'obésité est l'état d'un individu ayant une masse corporelle largement supérieure à ce qui est souhaitable ou acceptable, généralement dû à une accumulation de masse adipeuse1. L'obésité humaine a été reconnue comme une maladie en 19972 par l'OMS. Cette organisation définit « le surpoids et l'obésité comme une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». Sa prévention est un problème de santé publique dans les pays développés. Elle peut avoir des répercussions importantes sur la santé de l'individu.
Cette maladie multifactorielle est considérée aujourd'hui par métaphore comme unepandémie, bien qu'il ne s'agisse pas d'une maladie infectieuse3.

Causes Symptômes et Complications de la Pression artérielle


Les maladies cardiaques se classent parmi les majeures causes de décès à l'échelle mondiale, et les personnes dont la pression artérielle est élevée courent un bien plus grand risque de mort précoce due à une maladie cardiaque.
Vos artères transportent le sang de votre cœur à tout le corps. La pression artérielle est la mesure de la force qu'exerce votre sang contre la paroi interne de vos artères. La propulsion du sang à travers le corps exige évidemment une certaine pression, mais quand elle est trop forte, vous avez une pression artérielle élevée, ou hypertension.
Chaque lecture de la mesure de la pression artérielle donne 2 chiffres différents : par ex. « 120 et 80 », qui s'écrit 120/80. C'est parce que chaque battement du cœur envoie une onde de pression qui se propage dans la circulation sanguine. Le chiffre le plus haut (celui de la pression artérielle systolique) correspond au son émis par le pic de l'onde au moment de la contraction cardiaque. Le chiffre le plus bas (celui de la pression artérielle diastolique) correspond au « creux » de l'onde produit par la période de repos cardiaque.
Les chiffres de la pression artérielle sont toujours consignés dans le même ordre, celui de la pression systolique précédant celui de la pression diastolique; ces chiffres sont ceux de la mesure de la pression en millimètres de mercure (mm Hg) sur la jauge d'un tensiomètre. Toute personne dont la mesure de la pression systolique est supérieure à 140, et celle de la pression diastolique à 90, a une pression artérielle élevée.
L'hypertension constitue l'un des principaux facteurs de risque d'accident vasculaire cérébral et d'insuffisance rénale. On estime que 20 % des hommes et 19 % des femmes de la population canadienne ont une pression artérielle élevée. Un grand nombre de ces personnes ne se rendent pas compte de leur problème. Mais parmi celles qui en sont conscientes, moins de 1/3 reçoivent un traitement adéquat pour la prise en charge de leur pression artérielle.

Causes

L'hypertension est dite primaire (ou essentielle) lorsqu'elle n'a pas de causes évidentes. La plupart des cas d'hypertension répondent aux critères de l'hypertension essentielle. Quand un problème sous-jacent, comme une maladie du rein ou un dérèglement hormonal, cause l'hypertension, elle est alors désignéehypertension artérielle secondaire. Quand il est possible de corriger la cause sous-jacente, le niveau de la pression artérielle s'améliore généralement et peut même redevenir normal.
Parmi les autres facteurs prédisposant à une hypertension, on retrouve :
  • l'âge (la pression artérielle s'élève habituellement avec l'âge);
  • le régime alimentaire;
  • une consommation d'alcool immodérée;
  • le manque d'exercice physique;
  • l'obésité;
  • l'apnée du sommeil;
  • le stress.

Symptômes et Complications

L'hypertension peut parfois causer des maux de tête, des problèmes de la vue, des étourdissements ou un essoufflement - mais la plupart des personnes atteintes d'hypertension n'observent aucun de ces symptômes. C'est la raison pour laquelle l'hypertension est surnommée « la tueuse silencieuse ». L'hypertension se découvre habituellement au cours d'un examen de santé régulier quand le médecin ou une infirmière prend la mesure de la pression artérielle.

Définition Tension artérielle


La pression artérielle correspond à la pression du sang dans les artères. On parle aussi de tension artérielle, car cette pression est aussi la force exercée par le sang sur la paroi des artères, elle tend la paroi de l’artère (voir l’article Tension mécanique) ; stricto sensu, la « tension » dans la paroi de l’artère résulte directement de la « pression ».
L’unité internationale de mesure de pression est le pascal (Pa). Toutefois, l’usage fait que la pression artérielle est souvent mesurée en centimètres de mercure (cmHg), parfois en millimètres de mercure (mmHg).
Elle est exprimée par deux mesures :
  • La pression maximale au moment de la contraction du cœur (systole),
  • La pression minimale au moment du « relâchement » du cœur (diastole).
Si on énonce la tension sous la forme d’un seul chiffre, sans unité, il s’agit alors de la pression artérielle moyenne (PAM) exprimée en mmHg. Celle-ci se calcule de l’une des manières suivantes :
PAM = (pression systolique + (2 × pression diastolique)) / 3
Autrement dit : (1/3)PAs + (2/3)PAd
PAM = pression diastolique + ((pression systolique - pression diastolique) / 3)
Note : en langage courant (exemple chez le médecin), la tension est indiquée par deux chiffres correspondant à la pression systolique suivie de la pression diastolique exprimées en cmHg ; par exemple « douze/huit » signifie une pression systolique de 12 cmHg et une pression diastolique de 8 cmHg. Les appareils électroniques s’affichent le plus souvent dans les unités courantes dans le monde anglophone : mmHg par exemple 120/80.
Chez un individu sain, la pression artérielle est de l’ordre de 12/8 cmHg mais cela varie beaucoup avec l’âge, le poids, le sexe, etc. de l’individu.